Publications

Collection « Travaux et recherches de l’Ifri », Economica, avril 1983 (en collaboration avec Karl Kaiser, Cesare Merlini, William Wallace et Edmund Wallenstein) Publié simultanément dans les diverses langues de la Communauté La réconciliation et la construction de l’Europe, au lendemain de la guerre, représentent un succès historique exceptionnel. Or, à l’aube des années 80, alors que […]

Sharing international responsabilities among the trilateral countries

Sharing international responsabilities among the trilateral countries

New York, 1982. (en collaboration avec Nobuhiko Ushiba et Graham Allison)

Publié dans La Jaune et la Rouge, février 1981

La vie de Jean Ullmo est tout entière inséparable de l’École polytechnique. Après une scolarité brillante au lycée Janson, il y est reçu en 1924, âgé de dix-huit ans. À la sortie de l’X, son père, qui avait quitté l’Alsace pour rester français, est à la tête d’une affaire prospère de négoce international. Il lui propose de prendre sa suite. Jean Ullmo préfère se vouer à la science, renonçant délibérément à toute idée de carrière. À cette époque, devenir « chercheur », surtout lorsque l’on n’était pas universitaire, était un choix particulièrement courageux.

Rapport préparé par Karl Kaiser,Winston Lord et David Watt (Forschungsinstitut der Deutschen Gesellschaft für Auswärtige Politik/Council on Foreign Relations/RIIA) Publié simultanément en français (par l’Ifri) et en allemand, (par Forschungsinstitut der Deutschen Gesellschaft für Auswärtige Politik) ; Traduit dans de nombreuses autres langues

L'énergie : le compte à rebours - Anglais
Energia contro alla rovescia
L'énergie : le compte à rebours

Texte rédigé en juillet 1977. Les références entre parenthèses se rapportent à l’édition originale des Mémoires de Jean Monnet, Paris, Fayard, 1976

Jean Monnet fut assurément un homme exceptionnel. D’abord par l’intensité de sa motivation. Il n’avait qu’une idée à la fois et possédait, selon l’expression de Marcel Bleustein-Blanchet, la « rage de convaincre ». Il ne paraissait jamais saisi par le doute, jamais entravé par l’« angoisse métaphysique ». Il était de la race de ceux qui détiennent la vérité et l’énoncent avec solennité. Il évoquait la statue du Commandeur. Un peu comme Jacques Rueff. Monnet raconte (p. 610-611) qu’un de ses amis américains avait coutume de dire : « Il n’y a que deux catégories d’hommes : ceux qui veulent être quelqu’un et ceux qui veulent faire quelque chose. » Il appartenait à la deuxième catégorie.

El desorden economico mundial
Le désordre économique mondial
Essais d'économie parétienne
Economie théorique